Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
28 juin 2018 4 28 /06 /juin /2018 10:23

Parodie d'un titre de films que, personnellement je n'ai jamais vus 

mais qui me fait penser aux choses que j'ai écrites il y a bien longtemps déjà

Chose que je fait rarement,

je suis retourné dans le passé

et je l'analyse  en fonction de ce qui se passe actuellement dans mon ex-hôpital, et son devenir

 

Ex-hopital puisque à la date butoir de ma retraite, je n'ai pas été prolongé au-delà bien que statutairement, cela eut été possible.

Motif : trop vieux, trop cher mais probablement trop ingérable, électron libre insupportable

Je n'ai fait aucune demande, m'opposera-t-on

Certes, mais on m'a suffisamment fait savoir en privé, la vanité de cette demande

Je suis trop fier que pour leur laisser le plaisir d'un refus

 

Pythie pessimiste, le fait est que ce que j'annonçais à l'époque, est occupé de se réaliser 10 ans plus tard.

La lâcheté, l'égoïsme, l'individualisme, le "je m'en foutisme" médical est coupable

J'ai le sentiment, régulièrement, que les médecins se laissent joyeusement

faire un lavage de cerveau par l'adiministration toute puissante

dont on sait en quel horreur je la tiens

 

Alchir

Partager cet article
Repost0
6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 06:59

Survivre.

Il faut survivre.

Tenir.

Il faut tenir.

 

Au risque d'être grossier, je qualifierais le vécu actuel en chirurgie par le terme

" ambiance de chiotte "

 

Les soignants vivent dans un contexte de précarité.

Que deviendront-ils sous peu, où travailleront-ils ?

Les plans de retour à l'équilibre succèdent aux plans de retour à l'équilibre en vue de réduire le personnel, source d'économie, imagine-t-on en haut lieu.

Economie ?

 

La perte de un à deux séjours de 3000€ sur un mois, couvre déjà les mensualité d'économie en personnel, je crains....

 

Les voies de l'administration pour les modes de calcul financier sont elles aussi impénétrables.

 

Quel gain >< quelle perte ?

 

Pour ce qui est de la situation actuelle :

on jongle pour essayer gérer le problème des places, on vire les patients un peu plus vite, on essaie de trouver des places dans d'autres services. 

Les soignants tout corps confondu, se débrouillent pour que cela marche, donnant ainsi raison à l'administration. 

 

Fort heureusement, si je puis écrire ainsi, la politique de réduction de lits fait son chemin dans la population avec l'effet d'image et d'attractivité que l'on peut imaginer.

 

Il y a là matière à trouble du sommeil...

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 00:46

CME

Dans quelques jours, l'hôpital devrait avoir un nouveau président de CME.

 

Personnellement, je ne serai pas candidat, vu l'avenir incertain (ou plutôt, certain) qui m'est promis car il faut s'inscrire sur la durée.

 

Qui sera élu et qui aura les capacités

         - de s'opposer quand il le faut à l'autorité absolue du directeur que la loi lui a conféré,

         - de collaborer avec l'administration pour conduire de vrais projets, autres que ceux de la descente aux Enfers,

         - de proposer des projets innovants, porteurs d'avenir pour notre hôpital,

         - d'avoir cette imagination, cette volonté, cette force et cette ténacité pour y arriver,

         - d'être le représentant défenseur d'un corps médical devenu très marginal dans l'organisation hospitalière ?

 

Qui saura prendre ce qui est une charge avant que d'être un honneur et une promotion, faire l'abnégation de sa personne, défenseur de la communauté avant que promoteur de son service ?

 

 

Partager cet article
Repost0
4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 08:06

Le devoir d'information s'impose aux médecins dans leur pratique.

Son défaut peut être sanctionné.

Le principe ne me choque absolument pas.

L'information est une aide à la décision pour le patient et sa famille.

Dans les situations graves, je pense que ne pas savoir est parfois pire que la connaissance du problème.

 

L'inconnu est souvent un spectre effrayant et perturbant.

 

Pourquoi à l'hôpital, n'aurions nous pas droit à un traitement équivalent.

 

Pour moi, ma situation est claire :

dans 390 jours maximum, je serai débarqué, jadis on utilisait le terme " remercié" car je coute trop cher (on ne jamais dit combien je rapportais) et je suis un emmerdeur, ce blog en est le témoin, on me l'a assez reproché.

 

Mais pour les autres, les soignants plus jeunes que moi, les CDD surtout, de quoi demain sera fait.

Comment et à quoi doivent-ils se préparer ?

Beaucoup ont charge de famille, des crédits en cours.

GERER C’EST PREVOIR ET NE PAS PREVOIR C’EST DEJA GEMIR

avais-je déjà écrit.

Encore faudrait-il qu'ils sachent

 

Alors j'adresse cette supplique à ceux qui nous dirigent

De grâce, dites nous de quoi demain sera fait ?

Partager cet article
Repost0
30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 10:00

 

En ce moment, je dégage une vague d’optimisme époustouflant, ce dont je vous prie de m'excuser.

Pour décrire mes états d’âme, j’ai eu hier, cette phrase :

« j’ai l’enthousiasme d’une pierre tombale qui va se faire profaner ! »

C’est tout dire.

 

Je suggérais aussi hier que nous faisions ce qu’il faut pour que le navire coule.

Un élément de plus s’ajoute à mon impression, le conseil de bloc de lundi.

Une réunion confidentielle avec quasiment aucun médecin et des décisions prises certainement dans l’optique d’économie mais avec quelles conséquences ?

Je n’étais pas là et on me le reprochera, mais ...

Les réunions de conseil de bloc jusqu’à ce jour, sont organisées lorsque je suis en vacances ou vraiment très occupés comme lundi, au milieu de mes consultations.

 les décisions prises s’inscrivent pour moi dans une logique de réduction progressive d’activité.

J’attendrais plutôt que nous nous mobilisation en masse autour de projets novateurs qui seuls seraient susceptibles de nous faire sortir de ce bourbier dans lequel nous nous enfonçons progressivement.

(Cela fait beaucoup de conditionnel, sauf pour ce qi est de s'enfoncer, n'est-il pas ?)


Cerise sur le gâteau, c’est la que l’on apprend, incidemment, que notre nouveau chirurgien digestif serait déjà parti.

Je discute le problème avec une infirmière qui me dit « ah ! Il m’a dit la semaine passée qu’il partait en vacances. »

Dans la vague d’incertitude où nous flottons comme un bouchon au gré des vagues, rien ne m’étonnerait.

 

Pourrait-on néanmoins, espérer bénéficier d’une communication claire sur ce qui se passe dans l’hôpital et vers quoi nous nous dirigeons en réalité ?

Mais, quelqu’un le sait-il réellement ?

J’ai le sentiment que nous naviguons à vue, les yeux bandés, dans le brouillard.


 

Partager cet article
Repost0
29 septembre 2013 7 29 /09 /septembre /2013 21:25

Certains s'en étonneront, je paraphrase Marx.

Peut-être est-ce parce que je reviens de Trèves (Trier, en allemand), sa ville natale.

La réalité est là : seule l'union de tous est susceptible d'inverser le cours des choses.

Quand j'écris "Tous", j'entends bien au sens le plus large, de l'ouvrier jusqu'au médecin.

 

La recette de la réussite :

Le vouloir, y croire et s'obstiner dans la solidarité.

 

Il y a peu, j'avais abdiqué mon optimisme. Votre présence mardi passé, me l'a regonflé. Je crois en nous.

 

 

 

 

 

 

*Ce chiffre affiché dans le titre de chaque blog, est  un petit réconfort pour nos administratifs chéris, c'est le rappel du temps qui me reste dans cet hôpital, RTT et congés non déduits.

Partager cet article
Repost0
10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 07:17

Certains pourraient se poser la question, pourquoi ce blog, pourquoi écrire, pourquoi ne pas passer par les instances ?

 

Ma culture latine (j’en ai un petit peu, oui) permet de répondre :

Verba volant, scripta manent (traduction : les paroles s’envolent, les écrits restent mais finalement, pourquoi ne pas l’écrire directement en français ? bonne question effectivement ! une forme de snobisme ?).


Régulièrement j’ai dit des choses, soulevé des points dans les réunions et instances.

J’en veux pour exemple, le nombre de lits comptabilisés en chirurgie par rapport au nombre de lits effectivement installés, dont il ne reste aucune trace de mes propos, tout ceci n’étant que babioles et peccadilles.

 

L’avantage du blog c’est effectivement que les écrits restent.

Ils auront l’avantage peut être un jour, de montrer que mon analyse n’était pas totalement fausse.

L’inconvénient si je me suis planté, on pourra me mettre le nez dans le « caca ».

J’en prends le risque.

 

La lecture de ce blog permettra aussi de se rendre compte que je lis les documents que l’on nous envoie, bulletins, comptes-rendus du CLIN, CHECK HOP…etc.

La lecture du dernier CHECK HOP soulève le problème d’une désinformation, de l’intox. Nous en avons déjà parlé.

 

Effectivement, à l’analyse, je me pose la question si je ne me trompe pas complètement.

L’analyse des documents, des projets, des comptes-rendus montrent que selon les circonstances, la clinique et l’hôpital font amalgame et à d’autres moments, c’est la césure complète, presque le black out, l’omerta, bref la clinique et l’hôpital,  c’est pas la même chose.

 

La question que je pose et qui n’est pas de la désinformation ni de l’intox, mais qui soulève des interrogations que d’autres que moi, ont également :

L’hôpital et la clinique c’est quoi ?

Pour moi, un choix judicieux qui confortait une offre de soins chirurgicale sur le bassin d’emploi.

Mais on peut la voir aussi comme une solution de rechange à une chirurgie rendue moribonde.

Les lits préservé de la clinique réapparaitront-ils miraculeusement pour palier à l'insuffisance chirurgicale, je vous le demande ?

La clinique a un double avantage pour l'hôpital propriétaire/

     - la charge salariale médicale ne doit pas être supportée par l'institution,

     - le recrutement sera toujours plus sûrement assuré, il y va de la survie financière des praticiens. De plus, le laminage de la chirurgie publique, va créer un monopole  de fait.

Financièrement pour les finances de l'hôpital, c'est tout bénéfice. De plus, si par ce biais on parvient à réduire la part des urgences, très couteuse, on fait coup double.

Il y a matière à réflexion et polémique, je ne manquerai pas de rallumer la flamme de ce foyer.

 

 

ALCHIR.

 

Partager cet article
Repost0
30 mai 2010 7 30 /05 /mai /2010 23:57

Ce qui se passe à l'hôpital et ce qui devrait se passer, me ramène à des réminiscences latines qui devraient nous inspirer : l'histoire de Menenius Agrippa Lanatus.

Menenius Agrippa, surnommé Lanatus, élu général contre les Sabins, en triompha. Le peuple s'était séparé des sénateurs, pour s'affranchir des impôts et du service militaire, et l'on tentait, pour le rappeler, d'inutiles efforts. « Un jour, dit Agrippa député vers lui, les membres du corps humain, voyant que l'estomac restait oisif, séparèrent leur cause de la sienne, et lui refusèrent leur office. Mais cette conspiration les fit bientôt tomber eux-mêmes en langueur; ils comprirent alors que l'estomac distribuait à chacun d'eux la nourriture qu'il avait reçue, et rentrèrent en grâce avec lui. Ainsi le sénat et le peuple, qui sont comme un seul corps, périssent par la désunion, et vivent pleins de force par la concorde.» Cet apologue ramena le peuple, qui cependant créa des tribuns de son ordre pour défendre sa liberté contre l'orgueil des nobles. Quant à Menenius, il mourut dans une si grande pauvreté, que les citoyens contribuèrent, chacun pour un quadrant, aux frais de sa sépulture, et que le sénat fournit, aux dépens de la république, un lieu pour son tombeau.

Sic transit glorai mundi
Alchir


 

Partager cet article
Repost0
20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 06:10

Voilà une question que je me pose et qui ne trouve pas de réponse satisfaisante

En effet, l'analyse de notre situation qui est faite par les tutelles et les conclusions qu'elles en tirent, proviennent essentiellement des données que nous leur donnons.

A quoi sert-il de ternir faussement l'image ?

 

Voilà des mois que je clame une erreur sur les lits attribués à la chirurgie et sur le calcul du taux d’occupation.

Rien ne change, les informations qui circulent ne changent pas.

Pire, en réunion où on élabore un simulacre de projet médical, on déclare péremptoirement que cela n’a pas d’importance, balayant le fait d'un revers de la main.

 

Un taux d’occupation calculé sur 36 ou 29 lits ne me semble pas le même, je l’ai montré ailleurs.

 

L’évaluation de la place de l’ambulatoire ne tient pas compte d’un certain nombre de fait qui  modifie l’indication du mode d’hospitalisation.

 

   - Ainsi, jusqu’il y a peu, dans le service de chirurgie, lorsqu’un patient admis en ambulatoire passait en hospitalisation conventionnelle, Le RSS (résumé standardisé de sortie) était modifié : le code de l’unité d’hospitalisation état simplement changé alors qu’il eut été plus judicieux de créer un second RUM (résumé d’unité médicale) qui traduisait et justifiait cette évolution qui correspond à une nécessité, avec une implication médico-légale sous jacente.

 

   - certaines hospitalisations telles une commotion cérébrale associée à une autre pathologie chirurgicale à surveiller, ne nécessite qu’un suivi de 24H. Il ne s’agit pas non plus de cas d’ambulatoire mais bien d’une surveillance courte à réaliser en unité chirurgicale.

 

   - des traitements chirurgicaux réalisés en urgence, nécessitent une courte hospitalisation soit juste avant (urgence différée), soit juste après pour la surveillance post anesthésique et chirurgicale de qualité. Il n’agit pas, encore une fois, de chirurgie à caractère ambulatoire. Notre durée moyenne d’hospitalisation, les tensions sur les lits et le taux d’occupation qui existent régulièrement, et l’évolution de la pratique et des attentes des malades, imposent ce mode de fonctionnement.

 

On voit là trois scénarios qui, s’ils ne font pas l’objet d’une analyse fine, vont être interprétés de manière brute, comme la dérive d’une hospitalisation classique qui aurait dû être faite en ambulatoire, source d’économie sur la masse salariale du personnel soignant.

 

D’ailleurs, sur la masse salariale, a-t-on audité la performance et l’utilité des services administratifs qui coutent et sont plus consommateur de moyens que productifs de ressources.

20% d’effectifs en trop sur l’hôpital ?

Quel est la part d’effort de chacun, sachant que «  l’outil » de l’hôpital, c’est le soignant

et que dans une entreprise, c’est l’outil qu’il faut préserver.

Les gains de productivité que l’on gagne en utilisant les ratios comme des maxima et non comme des optimums sinon des minima, conduisent à une dégradation des soins et de leur qualité, à des risques dont la réalisation génère des surcoûts souvent transférés sur la collectivité mais profitables aux institutions de soins au dépens de la SECU.

 

Il y a le problème de la réduction des lits.

L’analyse de la répartition de l’activité au cours de nombreuses années, montre une courbe hectique.

La diminution du nombre de lits de chirurgie va conduire à une amputation d’activité.

Ce constat n’émeut personne.

Doux dingue mais pas (trop) méchant, je déconne encore, pense-t-on.

Pourtant, il s'agit d'un projet médical pour un retour à l'équilibre financier.

La recette est simple :

Augmenter les recettes et réduire les dépenses.

Si la réduction des dépenses conduit à réduire les recettes, je pense qu'on s'inscrit dans une spirale de décroissance fatale.

 

Finalement, dans la nouvelle loi HPST, je me pose la question

Qui dois-je soigner ?

Mes patients (regroupés maintenant sous le vocable patientèle, plus correct que clientèle) ou ma « RUM entèle » ?

           

 

Décidément Monsieur Philippe Meyer, vous l’aviez compris bien avant nous,

le progrès fait rage, nous vivons une époque vraiment moderne

 

Votre humble disciple,

 

Alchir

 

Partager cet article
Repost0
18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 06:05

Plus je réfléchis à la réunion d'hier, plus j'ai le sentiment d'une mascarade, faire valoir qui permettra de dire que les médecins, les équipes puisqu'il y avait également des surveillantes, ont élaboré, participé au projet médical.

 

Que pouvait-on attendre d'une réunion de deux heures de tout le pôle chirurgical : ORL, Ophtalmo, gynéco, chirurgie viscérale et orthopédique, l'ambulatoire.

 

Une réunion sans convocation,sans ordre du jour, sans préparation.

Aucune réunion préalable de concertation, du moins en chirurgie, les autres je ne sais pas, pour réfléchir sur notre avenir.

 

Au cours de cette réunion, on y parle du déficit de la chirurgie dont je n'ai jamais vu les chiffres.

Dans les rapports que j'ai lu, il est des moments où l'on mèle la clinique et l'hôpital public.

La manière dont les choses s'articulent à ce niveau, a été à peine effleuré. Les imputations financières ..., de quoi s'agit-il au fait ?


Quelques idées sont lancées, les implicatons financières ne sont jamais abordées or il s'agit, rappelons le d'un plan de retour à l'équilibre financiers.


Il n'y aura pas d'autre réunion : le groupe stratégique va se réunir mercredi et décidera s'il y a lieu de se réunir à nouveau.

 

Elaborer un plan stratégique d'une telle ampleur, qui décidera de l'hôpital futur de cette manière, est une plaisanterie.

 

Il n'y a aucun document final soumis aux participants, quel consensus ?

 

Il est des questions que j'aurai voulu poser, mais je n'ai pas pu :

Ainsi, par rapport à l'effectif excessif de 20% dont j'entends parler, quel effort est-il fait au niveau de l'administration, à l'exception d'un cadre supérieur qui a muté et n'est pas remplacé, pour l'instant.

 

La question sur la restructuration des lits de chirurgie, mise en place avant même l'élaboration du projet médical, est restée sans réponse.

 

Elle a le mérite au moins de permettre de répondre à ma dernière question, sur l'utilité de ces réunions :

Si un jour nous renâclons sur l'évolution de l'hôpital, on nous rappellera que c'était notre projet.


Dieu et mes lecteurs me sont témoins et cet article surtout, que spectateur de cette commedia dell'arte, je refuse d'être l'acteur complaisant de cette pantalonannade.


La nouvelle gouvernance est en marche...

   

Alchir

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de alhopital.over-blog.com
  • : Au départ, blog militant de réflexion, de critique et de provocation, de défense de la chirurgie d'abord, de l'hôpital, de l'avenir des patients. Mais surtout blog d'un chirurgien qui commente la " vrai vie ", telle qu'il la perçoit et qui le fait réagir
  • Contact

Recherche