Après la brillante prestation de l’équipe de France le 4 mars, pendant 24 à 48 heures, la vie française a tourné autour du maintien ou non de Domenech à son poste.
Passionnant !
La France s’est polarisé autour du nombril d’un sélectionneur.
Au lendemain du premier tour, on s’étonne d’un taux d’abstention aussi élevé.
Que fut cette campagne électorale : Tout sauf passionnante.
Niveau « école primaire » : Oh ! Madame, il a fait ça. Oh ! Monsieur, il a dit ceci.
De débat sur la gestion, des explications sur la crise et comment essayer d’en sortir au plus vite et au mieux, je ne suis pas sûr de les avoir bien entendus.
Dans un domaine, celui de la Santé qui me touche et qui devrait nous toucher tous, nada.
Le vide intersidéral.
Pourtant avec la loi HPST, le maillage de la santé et des hôpitaux devrait être le cœur d’une réflexion au sein du département et de la région.
Rien, rien, mille fois rien !
La politique de l’image, de la pub.
Se montrer et être vu le plus possible.
Serrer des mains « vous voterez pour moi, n’est-ce pas »
En tête de liste, des noms, des icones dont on ne connaît pas nécessairement le fondement de la pensée politique, mais surtout des noms connus.
« Parlez-en en mal, parlez-en en bien mais parlez-en » demeure toujours d’actualité, il en restera toujours quelque chose dans la mémoire collective.
Alors pour le second tour : Pour ou contre le maintien de Domenech ?
Alchir